La connexion au vivant, à la sagesse du grand Esprit qui vit en toute chose s’est perdue, conséquemment, l’humain se croit au dessus de la vie elle-même et de la nature. C’est là son plus grand frein, en agissant ainsi, il se coupe lui-même de la vraie grandeur qui est en lui. Cette grandeur se manifeste quand l’homme comprend qu'il est l’enfant porté par des parents éternels. Quand il reconnait cela en lui, naturellement il devient enclin à servir la vie, la création. Cette humilité est si difficile à embrasser en tant qu’être humain, c’est pourtant elle qui nous libère du contrôle et du savoir et nous rend véritablement grand. Se faire tout petit pour devenir grand, voilà un paradoxe sur lequel il est si important de méditer.

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La flamme de la résurrection

Yeshua dernier avatar incarné, notre frère du grand soleil central, est venu nous enseigner que dans le coeur de chaque l’humain, siège le feu divin qui insuffle la vie. En effet, le père souffle la vie dans la matière « matter » de la mère. Ce n’est pas le propre de la volonté humaine mais, de la volonté divine. La volonté humaine est la disposition dans laquelle nous nous mettons pour servir le divin en nous. Ainsi, nous pouvons invoquer à partir d’une disposition de choix, de foi et d’humilité la suprématie cosmique qui siège en nous. 

La flamme de résurrection est le feu blanc qui naît à partir du centre de la triple flamme de la Présence JE SUIS dans notre coeur. Elle est la résurrection de la vie en chaque cellule de notre être. Le feu blanc réorganise les particules les réanimant à un ordre divin parfait. Cette ordre divin nous l'avons oublié au profit des commandes de l'ego et de ses peurs.

Lorsque nous prononçons solennellement et avec coeur JE SUIS, qui signifie ; Dieu en moi est, nous commandons le divin en nous et nous devenons alors son co-créateur conscient! 

Dieu éternel dans le corps est le message de lumière encodé qui se trouve dans notre ADN. Quand nous faisons appel à Dieu en nous, la lumière jaillit au coeur de notre ADN elle-même. 

Ce feu à une action directe sur la réanimation de la vie, du flux de mouvement là ou il y a stagnation, inertie. Il redonne une vitalité ou un élan de vie perdu ou éteint. Le feu blanc de la résurrection travaille à la relance de vie dans notre structure physique en particulier. Jumelez ce feu avec la flamme verte de guérison et la flamme violette de transmutation est très puissant et vous travailler de façon complémentaire. Transmuter la cause (Flamme violette) de ce qui empêche la vie de circuler en vous est primordial pour permettre à celle-ci de circuler. La flamme verte, elle, permet l’intégration de la perfection divine dans la matière, dans la chair jusque dans l’infiniment petit atomique. L’esprit Divin est réintégré avec amour et conscience dans la matrice. Le signal vibratoire de lumière ainsi commandé et activé dans le corps, duquel nous sommes les gouverneurs est un code d’activation christique. Par l'énergie du Saint-Esprit il descend en nous toujours un peu plus. Chaque parcelles d'impureté transmutée en lumière est habitée par une l'intelligence christique.

L’action de la flamme blanche de résurrection diminue la fréquence cardiaque et le rythme respiratoire. L’énergie nécessaire à notre vitalité prodiguée par nos fonctions vitales tel que respirer et la circulation de notre sang par notre coeur, sont suppléées par la flamme blanche de résurrection. La vie nourrie notre corps par une autre voie, celle de l’Esprit Divin. 

La résurrection de la vie en nous relance la vitalité dans notre physique mais, également, dans nos élans créatifs et dans notre vie. Nos relations peuvent également en être vivifiées puisque notre propre coeur l’est. Notre changement vibratoire en communication constance et vivante avec la toile de vie, le champ unifié, peut alors, nous apporter de nouvelles opportunités. Partout où il y a de la vie, la flamme de résurrection peut agir. Elle agit dans la nature, les animaux, les océans, des groupes de gens, des communautés, ect.

Joyau nacré de vie

Au nom de ma bien-aimée Présence JE SUIS, de l’alpha et l’omega dans le coeur du grand soleil central, de mon moi christique sacré bien-aimé, de la bien-aimée ISIS, déesse de la résurrection de la vie,  du bien-aimé Yeshua, du bien-aimé Lanello, l’esprit entier de la grande fraternité blanche et de la bien-aimée mère du monde, la vie élémentale ; feu, air, eau et terre.

Je décrète:

Ô Flamme de résurrection

Que ta lumière blanche nacrée

de guérison soit ma chanson

Que ma renaissance soit ta vitalité

Bénie de ta lumière blanche  je suis

Du sacré coeur de l’Esprit je revis

Dans mon corps harmonisé je vis

Et de ma conscience élevée

Le rayonnement du soleil jaillit 

Tel un joyau nacré de la vie 

(répéter le coeur du décret par multiple de 3)

Consciemment, dans la confiance totale et absolue, je considère et ancre cela comme manifeste et accompli maintenant (Répéter cette phrase trois fois). Soutenu infiniment par la toute puissance cosmique et ma Présence bien-aimé JE SUIS. Que le sacré des sacrés règne maintenant dans la lumière jusqu’à ce que tous soient pleinement réalisés sur la terre comme au ciel.

Écrit par Valérie Moreau
Pour en savoir plus sur la flamme violette, les décrets et le processus de transmutation intérieure visitez Temple d'Améthyste
En vous remerciant à l'avance de votre intégrité divine, de citer la source si vous partagez ce décret.

Mourir pour renaîtreQuel est le sens de cette affirmation pour vous?

Ces temps d'incertitude que nous vivons sur ce plan terrestre depuis plusieurs mois m’accompagne à nouveau dans cette réflexion profonde sur notre relation à la mort, à la Vie, au sens de la vie, au sens de l’Essentiel dans notre vie. Quel est l’Essentiel de votre vie? Vous a-t-il déjà été demandé ce qu’est l’Essentiel de votre vie? Vous est-il possible d’être qui vous êtes tout simplement pour être bien ou choisissez-vous ne pas être qui vous êtes pour répondre aux critères des autres? Pour « être vraiment qui vous êtes », vous devez accepter de mourir pour renaître : mourir à qui vous avez essayé d’être, mourir à ce que vous croyez être ou mourir à ce que les autres désirent que vous soyez pour enfin renaître à qui vous êtes vraiment. Tout faire pour être aimé À la naissance, nous mourons à l’état de fœtus et au confort ressenti dans le ventre de notre mère pour naître à la Terre et débuter notre vie d’enfant. Normalement, en grandissant, nous devrions être encouragés à être qui nous sommes vraiment. Les parents devraient aider l’enfant à manifester sa véritable essence en lui proposant différentes expériences de vie pour qu’il puisse s’épanouir pleinement selon sa nature, ses goûts et ses préférences. Mais certains enfants vont adopter une identité pour plaire, pour être reconnus et aimés. Ils pourront ainsi répondre aux désirs des parents en devenant un sportif, un professionnel dans le domaine de la santé, des finances ou des arts par exemple. D’autres pourront être encouragés par les parents à se diriger vers une carrière juste pour assurer leur sécurité financière, au lieu de choisir ce qui correspond à leur véritable nature. Plus je vieillis, plus je m’éloigne de qui je suis Ainsi, pour réussir à répondre à ces attentes, l’enfant va grandir en installant des protections, des cuirasses, pour cacher ses aspects sombres ou lumineux dans le but d’être aimé et reconnu. Il obéira ou se rebellera aux règles parentales ou sociales en camouflant qui il est vraiment pour ne pas être jugé, mal aimé, non-reconnu, abandonné ou rejeté. Il ne vivra donc pas, il survivra. Adulte, il essaiera d’être qui il est tout en tentant de se conformer à ce qui lui est permis d’être dans la famille, dans la gang d’amis ou dans la société. Mais viendra un jour où un mal-être va s’installer à l’intérieur de lui; la vie deviendra de plus en plus difficile à vivre, voir insupportable. Les évènements qu’il va rencontrer ne feront qu’augmenter sa souffrance intérieure. Le désir de mourir pourra alors se présenter, accompagné de sentiments d’impuissance et de désespoir. Il pourra nourrir des pensées telles que : « Qu’est-ce que ça me donne de vivre? Je n’arrive plus à rien. » Il se sentira mal-aimé, incapable d’agir ou de créer. Il va survivre sa vie tel un « mort-vivant ». Quand nous sommes pris dans les filets de la survie, il devient nécessaire de mourir à cette fausse vie que l’on s’est créé pour renaître à qui on est vraiment. La vie, une suite de passages Chaque passage de vie est une initiation, une rencontre avec l’inconnu. Pensons aux passages de l’enfance, de l’adolescence, de l’adulte; de la vie de couple à celle de parent; pensons aux déménagements, à la perte d’emploi, à la maladie, à une séparation, à la perte d’un être cher, etc. Chaque passage nous invite à quitter notre zone de confort, cet espace de sécurité faussement créé, pour aller de l’avant, pour « être » et nous réaliser pleinement. Chaque passage devient alors une invitation au détachement. En mourant à un état d’être, nous répondons à l’appel de notre âme pour aller plus loin, ailleurs, pour évoluer, pour explorer de nouvelles avenues, pour apprendre à travers différentes expériences. La vie est synonyme de changement La plus grande constance dans l’univers c’est le changement. La vie est changement. La nature nous accompagne dans le changement à chaque saison qui passe, à chaque jour qui passe. Et même si ces changements sont pour le mieux, la résistance est tout de même présente. C’est difficile de mourir au connu… La peur prend le dessus et nous allons souvent préférer la sécurité au changement, comme par exemple maintenir une relation toxique dans un environnement toxique, qu’il soit familial ou professionnel. À force de trop nous protéger contre les évènements de la vie, nous installons des prisons intérieures où nous n’arrivons plus à respirer, à aimer la vie, à être et ainsi nous perdons de vue l’Essentiel de notre vie! Quand tout se met à trembler Mais vient un jour où la Vie n’en peut plus d’être enfermée, étouffée, emprisonnée, bloquée, non-respectée. Elle se manifeste alors en hurlant, en grondant tel un tremblement de terre intérieur. Nous avons l’impression que tout s’écroule, que notre vie est finie, que rien ne va plus. La vie pourra nous bousculer parfois jusqu’à tout détruire autour de nous. Pourquoi? Pour nous permettre de tout reconstruire, de repartir de zéro. Les grands bouleversements qui surviennent sont toujours purificateurs et régénérateurs. Via des crises, des épreuves, des maladies ou des expériences douloureuses ils veulent nous permettre de reconstruire notre vie sur des bases nouvelles. Accepter de vivre, c’est accepter le changement car la vie est une suite de morts et de renaissances, il ne faut pas l’oublier. Serait-ce possible que la vie elle-même nous apprenne à mourir pour mieux vivre notre vie? Pourrions-nous vivre comme si la mort était toujours présente, vivre comme si nous allions mourir demain? Je crois profondément que si nous savions que nous allions mourir demain, nous vivrions beaucoup plus intensément la vie d’aujourd’hui, sans compromis. L’instant présent deviendrait ainsi l’instant le plus important et le plus précieux de notre vie! On résiste toujours malgré tout Mais malgré le fait que la vie appelle toujours au changement, nous, nous résistons. Nous sommes pris entre la peur de vivre et la peur de mourir, coincé entre les deux. Quand arrive ce moment d’inconfort, il est préférable de se permettre de mourir, de lâcher-prise et de prendre conscience de ses attachements et de ses résistances. Ce détachement crée une grande liberté, aussi bien intérieure qu’extérieure, qui favorise la renaissance à soi. On choisit de laisser aller, on se permet de tout recommencer, de repartir à neuf, de se donner une autre chance en agissant différemment, en précisant ce qui est vraiment essentiel pour nous. Sans même le savoir, en s’abandonnant à la mort... on s’abandonne aussi à la vie. Quand nous nous permettons de mourir et de lâcher-prise à toutes les difficultés que nous vivons, le corps se détend, les cuirasses fondent, les peurs se libèrent, la vie se remet à circuler dans le corps. Cette renaissance élargit les perspectives de notre vie, on voit apparaitre de nouveaux objectifs, de nouvelles avenues; on retrouve notre véritable raison d’être ainsi que la voie qui est là devant nous, pour nous, aussi unique que parfaite! Je choisis de renaitre à qui je suis La véritable libération se vit dans le détachement, ce lâcher-prise qui nous permet de mourir à la vie qui ne nous convient plus pour recréer la vie que nous désirons. On se permet alors de renaître à qui nous sommes vraiment, à la vie, à la joie, au plaisir de vivre, à notre force intérieure, à notre créativité, à notre mission. Comment? En commençant simplement par des gestes de bien-être et d’amour pour soi au quotidien, un jour à la fois. Toute transformation nécessite de prendre des risques, d’aller vers l’inconnu, sans certitude. Il nous est demandé d’avoir la foi et de faire confiance à la vie, de développer la sécurité dans l’insécurité. Cela exige une bonne dose d’humilité pour accueillir et accepter les passages de la vie. Cela exige aussi de mettre l’orgueil de côté pour recommencer à zéro. Si nous choisissons de grandir à travers les épreuves et de relever les défis qui nous sont proposés, nous renaitrons avec plus de force, plus de vie et plus d’amour.  À quoi voudriez-vous renaitre? Et vous, à quoi aimeriez-vous mourir? À quoi voudriez-vous renaître? Apprenez à suivre la piste du bien-être en vivant en fonction des besoins de votre corps, des désirs de votre cœur, des élans de votre âme. Développez votre confiance en ce vaste processus qu’est la Vie, osez prendre des risques pour être maintenant, et pour toujours qui vous êtes vraiment. VIVRE, C’EST… Être qui je suis, sans compromis! Être qui je suis, sans compromis, devrait être mon mantra, ma raison d’être ultime, ce qui guide tous mes choix : travail, amour, amis et cie. Et si tout ce qui nous bouleverse depuis des mois sur cette terre nous accompagne à redéfinir notre essentiel de vie et être qui nous sommes vraiment....pour ainsi TISSER D'OR NOTRE AVENIR..... Nathalie    

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